Dans les années 90, les ados fumaient pour être cool. En 2021, les ados vapotent pour être cool. Des saveurs fruitées, des cigarettes électroniques stylées et un engouement sur les réseaux sociaux autour de ces produits suffisent pour attirer leur curiosité et leur donner envie de tester. Il n’est pas rare que certains jeunes vapotent même dans leur chambre sans que les parents s’en aperçoivent, cachant ainsi leur addiction précoce.
Il en va de même pour les réseaux sociaux. Le nombre d’abonnés et de j’aime devient alors une priorité à leurs yeux et rien n’est plus important pour eux que d’entretenir ces relations virtuelles au détriment du monde réel. Ils en oublient leur vraie valeur et ne se considèrent que par leur cote de popularité sur ces réseaux. Dépression, manque d’estime de soi, anxiété, échec scolaire ne sont que quelques exemples de conséquences néfastes de ces addictions.
Quelle que soit la nature de la dépendance, les parents doivent s’armer de vigilance et être ouverts aux discussions autour de ces addictions. C’est quand nous libérons la parole autour de ces sujets que nous protégeons au mieux nos jeunes.